Petite note d’introduction

 
 

Et alors, c’est quoi ces petites choses ? Eh bien c’est une attention de plus portée à certains détails du quotidien — mon grand dada depuis toujours, et sur lequel j’ai fondé ma première entreprise, Péa les maisons, il y a bientôt trois ans. Sauf qu’ici les outils pour prendre soin de ce quotidien (et de soi, et des autres), ce sont les huiles essentielles.

Rien de tellement nouveau pour moi. Les alternatives naturelles ont toujours fait partie de mon éducation. Autant pour les petits bobos, quand c’était possible, que pour le développement de mes premiers gestes écologiques (le biologique, le biodégradable et ainsi de suite).

J’ai surtout appris sur les huiles essentielles dans les derniers quatre ou cinq ans. À l’usage, d’abord, et avec mes enfants surtout. Comme des moyens rassurants d’affronter tous ces petits maux des premières années (de ventre, de dents, rhumes, infections mineures diverses, etc.). Puis je les ai intégrées à ma propre vie, souvent pour un soutien plus émotionnel. 

 
 
 
 

Ceux qui me connaissent savent ça : j’ai toujours partagé volontiers mes expériences positives (pas tellement sur les réseaux sociaux mais dans la vraie vie), allant d’un bon resto au travail d’un super créateur, des coordonnées de ma thérapeute à une astuce pour ceci ou cela. Et le gros de ma curiosité réside là, je pense, dans la découverte active d’expériences positives très concrètes.

Les petites choses c’est donc peut-être ça, le partage des huiles essentielles comme outils pratiques pour émerveiller davantage le quotidien. Le ralentir, donner de la beauté à certains gestes, en soulager d’autres, etc.

Or, on trouve des huiles essentielles en vente libre un peu partout et de qualité très variable. Alors qu’elle peuvent être des outils incroyables, il arrive souvent qu’elles soient mal choisies et/ou mal utilisées.

 
 
 
 

Personnellement, je me suis associée à une marque qui s’appelle doTERRA et que j’ai découverte il y a pile trois ans. Outre l’immense qualité des produits, qui est certainement l’aspect qui m’a fidélisée comme cliente d’abord, avec ce souci du détail dont j’essaie de faire preuve un peu partout dans ma vie et dans mes choix, c’est définitivement leur modèle d’accompagnement qui m’a donné l’envie de démarrer Les petites choses. Parce que l’idée, dans un premier temps, c’est toujours d’informer, de partager, d’éduquer. De là tous les ateliers que je donne.

Cela dit, je vends aussi leurs huiles. Parce que pour faire l’expérience véritable de ces petites bouteilles, il faut les avoir. Mais en saisissant au préalable tout ce qu’on peut en faire (de quelle façon, pourquoi, pourquoi celle-ci, etc.). De mon côté, ça implique un apprentissage constant, que je peaufine de façon autodidacte et grâce aux multiples formations développées par doTERRA et l’équipe du Québec. Bref, c’est un travail plus que fascinant dont je vous partagerai de temps à autre des bribes ici et là.

 
 
 

À tout bientôt.

 
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L’été